Sur les tourbières de labeur
Le chantier des saisons effleure
Les harmonies en demi-ton
Les feuillages d’écueils de bourgeons
Les friches d’herbes fanées de fleurs
Et les paysages en torpeur
L’été se couvre de fraîcheur
© Isabelle Crépeau, 2014
Ça sent la fin d’été, tout en douceur.
On a le goût de respirer à fond quand on lit ton poème.
Oui! En ce moment l’été semble ne pas vouloir nous quitter tout de suite. Et on voudrait bien le garder encore nous aussi, n’est-ce pas?