Fond d’air d’hiver tambourine sur le vide
Des interstices de froids indélébiles
Ponctuant de ses accents la langue de gris
De cette nature folle et meurtrie
La vie s’ennuie
Entre les madriers des murs zébrés
De chaleurs d’électricité
Hiberner
Dans l’opium de ses pensées
Aux solitudes calfeutrées
D’interludes d’intériorité
© Isabelle Crépeau, 2014